Quoi ? encore ? oui, les dettes toujours. Aujourd’hui, nous avons bien vu Chiclana, mais l’avons quitté peu après midi pour aller plus loin, toujours au Sud bien sûr.
Le plus loin le moins loin, c’est Coñil (de la Frontera bien sûr). Un petit port charmant, qui semble avoir un peu moins profité de la ruée touristique que Chiclana, mais tout de même. Ici, le village historique est un port. Les maisons blanches descendent jusqu’à la mer sans qu’on voit très bien si elles sont neuves ou juste bien conservées. Pas convaincus de la mutation, pas de stationnement simple, pas de photo, sauf notre bahut posé juste au dessus pour le déjeuner.
Nous poursuivons jusquà Vejer (toujours sur la frontière). C’est une autre histoire. La mer est déjà un peu loin, on ne la voit qu’en cherchant bien. Alors on en reste aux maisons blanches, et aux murailles ocres, avec un moulin à vent en prime … Nous faisons là une longue et belle promenade, sous un ciel maussade puis dégagé, avec une gâterie pâtissière propre à agrémenter le thé qui conclut l’après-midi.
Nous poursuivons jusqu’à Barbate, un port plus conséquent, où nous arrivons à 19h. Stationnement sur le port, sous l’oeil vigilant des mouettes, pendant que les pêcheurs partent au travail. Ah tiens, 9€50 la nuit, c’est nouveau ça, faut-il payer les mouettes ?
Bonne nuit. Demain, nous nous joignons aux autres voyageurs et à nos guides juste un peu plus bas, à Tarifá.
AnneGil, toujours la même jubilation à vous lire, que vous racontiez les steppes de Sibérie ou la bande de sable de Chiclana.
Bonne route à vous, le soleil ayant oublié la Russie depuis plusieurs mois, je viendrai me réchauffer auprès de vos récits !
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Vejer est toujours aussi magnifique….
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Sans aucun doute !
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