Tic tac, sans tactique
Oui, tic, tac, tic, tac, le temps a passé vite hier, avant-hier, à zigzaguer au petit bonheur entre les averses pour faire les dernières finitions, pas simple et même stressant.
Mais globalement, les prévisions ont été réalisées : le lanterneau fuiteur est stabilisé, la deuxième batterie est posée et opérationnelle, le contrôle pneumatique aussi.
Ah oui, c’est de ce contrôle que je voulais parler. Je l’ai mis en place l’an dernier pour le voyage en Allemagne. C’est un truc qui n’a rien de révolutionnaire les voitures récentes de haut de gamme en ont. Ce sont de petits capteurs montés sur les valves des pneus qui permettent de détecter tout variation anormale de la pression ou de la température du pneu. Sur le tableau de bord, un petit boîtier vous raconte où vous en êtes et sonne violemment en cas de problème. Le but est évidemment d’être informé sur des signes précurseurs d’éclatement et de pouvoir s’arrêter à temps. Je crois que ça m’avait coûté une petite centaine d’euros.
L’absente
Hier (j’écris samedi matin), nous avons conduit Goyave à sa résidence de vacances, une famille sympa de Poitiers où elle a désormais ses habitudes. Quand j’ai ralenti devant la maison, elle a couiné de bonheur. Et surprise, il y a un petit nouveau dans la famille, ils ont déjà commencé à galoper ensemble après un premier contact un peu rude, mise au point des pouvoirs, c’est Goyave la chef manifestement. N’empêche, 3 mois et demi sans notre grosse toutoune, … enfin bon.
Départ de Poitiers en principe vers 15h. A ce soir sans doute.