Euh … pour les jeunes, allez chercher la relation entre couloir et Dantzig, pardon Gdansk, vous n’aurez pas perdu votre temps : les autres ont le droit de dire que le titre est (une fois de plus) capillotracté.
Mais quelle journée ! Quelle bonne idée ont eu Annick et Jean-Claude de nous amener ici. Quelle ville !!! Vous n’avez pas idée de tout ce qu’il y a à voir. Partis à 9h15, rentrés à 18h30, fourbus, oui, mais contents ; un beau soleil le matin, une vague aspersion vers 15-16h et le retour du soleil, un resto incroyable, tout bon, tout bien vraiment bien, vraiment, vraiment, non pas « que du … », pas « trop … », pas « juste … » ; bien.
Donc départ vers 9h15, l’objectif mérite sacrifice, tram N°8, 3.8 Zlotys pour les quelques kilomètres qui nous séparent du Gdansk historique. On attaque très vite sur Dlugi Targ, un feu d’artifice de maisons historiques des deux côtés on ne sait pas quoi regarder, quoi photographier, en tout cas c’est souvent en format vertical ! Il nous a fallu une bonne heure pour « faire » cette rue de quelques centaines de mètres, au milieu de groupes de touristes de deux âges (petit et grand, l’âge moyen bosse pour payer tout ça). Je ne sais pas trop quoi vous raconter, je vais vous laisser regarder quelques images. Ah non, juste une question : que représente l’image qui a un fond gris foncé et un centre brillant ?
Résultat, nous nous sommes retrouvés à la gare, ce qui n’était pas au programme, on a dû glisser un peu sur le plan. En revenant, nous avons commencé à avoir faim et le restaurant Gdanska s’est aussitôt présenté devant nous ; coup de cœur instantané et ce n’est qu’une fois installés que nous avons constaté qu’il était recommandé par un guide. Cuisine authentique soignée, décor super kitsch et chargé, prix … polonais, un excellent déjeuner pour à peine 20€ … et nous voilà repartis.
Sauf que le temps devient maussade, puis légèrement pluvieux, une petite heure, et puis se rétablit … ouf, nous continuons notre balade de rue en rue en essayant de suivre des plans pas trop faciles, sans itinéraire tracé.
Mais il est finalement près de 18h quand nous reprenons la route de la station de tram. La seule vraie fausse note sera alors la tête revêche de la conductrice du tram, visiblement très dérangée par nos demandes de billets, et encore un peu plus loin de devoir changer un aiguillage, glaçante, on vous épargne la photo … qu’on n’aurait jamais osé faire de toute façon !
Demain est un autre jour, bonne nuit !
Ah non, la réponse de l’énigme, il s’agissait du thermomètre de Fahrenheit, né dans cette ville, comme en témoigne cette (moche) photo, c’est infernal à faire, il est enfermé dans une vitrine, ça reflète de partout, désolé !